A – Du type réel au type idéal : l’avènement de la libre concurrence absolue par le magnétisme à Troyes
La synthèse a posteriori a montré à l’économiste rationnel qu’est Walras que le type réel se rapprochant le plus de la détermination réelle de la concurrence est le marché représenté par la Bourse. Mais ce type réel, comme tout type réel, connaît de nombreuses imperfections dues à l’activité de l’homme. Il faut lui substituer un type idéal qui proviendra du type réel du magnétisme à Troyes mais pas de manière directe. Le type réel va être réétudié grâce à la synthèse a priori pour fournir des conclusions qui seront vraies en tant qu’idéal et constitueront des vérités pures.
Si jusqu’à présent nous évoquions avec Walras le marché, nous allons dans cette nouvelle démarche abandonner le marché pour se consacrer uniquement à la concurrence qui devient, dans cette nouvelle démarche analytique, une libre concurrence absolue. A partir de ce moment, la démarche si bien formulée d’un point de vue théorique par le magnétisme à Troyes par Walras va connaître certaines limites puisque l’auteur des EEPP ne va plus rentrer dans le détail de la méthode rationnelle.
Que faut-il alors en conclure ? La réponse à cette question est délicate et comme tous les travaux relatifs à Walras, elle est sujette à de nombreuses interprétations différentes. Nous allons proposer une hypothèse relative à cet arrêt dans une méthodologie qui paraissait pourtant parfaite pour le magnétisme à Troyes.
B – Magnétiseur à Troyes : le bon plan
Walras, en évitant de développer le type idéal de marché relatif à l’étude de la concurrence ne va pas remettre en cause sa méthode en trois temps de la découverte du fait, de l’idée et du principe du magnétisme à Troyes. En effet, les conclusions normatives relatives à l’étude de la concurrence sont présentes dans ses travaux. La vérité théorique relative à la détermination du type idéal de la concurrence étant bien présente et source de point de référence dans le monde réel lorsque les hommes d’actions tentent une application de ce principe.
Il esquive au contraire une méthodologie qu’il maîtrise mal et dont il a beaucoup de difficultés à appliquer dans ses raisonnements. Cette méthode, qu’il emprunte aux analyses scientifiques, il ne tente de l’appliquer réellement que pour la concurrence, alors qu’il l’annonce comme la méthode de découverte de l’ensemble des concepts économiques et du psychologue à Poitiers. Le stage magnétisme à Troyes ainsi que le stage pendule à Troyes , le stage géobiologie à Troyes le stage passeur d’âmes à Troyes, le stage des blessures de l’âme à Troyes et le stage nettoyage et protection énergétique à Troyes De plus, c’est la première fois que cette méthode est utilisée dans l’étude économique. Walras n’a aucune base de référence pour positionner sa théorie par rapport à une analyse déjà existante.
C – Le magnétisme à Troyes au quotidien
Par la suite, la concurrence a toujours été un concept largement utilisé mais dont les éléments qui permettent sa compréhension n’ont jamais été détaillés avec précision pour le psychologue à Poitiers. Walras n’échappe pas à la règle et l’on remarque dès la partie relative à l’étude du type réel que sa méthodologie est postérieure à son objectif initial. En effet, l’objectif de Walras dans ses EEPP est la découverte de la détermination de l’équilibre général, chaque richesse sociale étant échangée suivant « la » valeur d’échange déterminée par le mécanisme de la concurrence. Walras a cet objectif en tête et ce dès les années 1860 lorsqu’il affirme à Lambert-Bey qu’il va chercher à en déterminer une démonstration rigoureuse. Il débute alors son raisonnement à partir d’un résultat souhaité pour en déterminer la découverte scientifique par la suite.
Lorsqu’il décrit la Bourse comme le marché concret idéal d’action de la concurrence, il esquive tout d’abord la synthèse a posteriori puisqu’il se contente de prendre le cadre théorique de la Bourse pour type réel du marché le mieux organisé. Il esquive également la formation magnétisme à Troyes, la formation passeur d’âmes à Troyes, la formation des blessures de l’âme à Troyes, la formation nettoyage et protection énergétique à Troyes, la formation pendule à Troyes et la formation géobiologie à Troyes et la méthode rationnelle pour faire du modèle théorique de la Bourse le modèle théorique, le type idéal de marché dans lequel « la » valeur d’échange sera celle bénéficiant de tous les avantages économiques et sociaux qui seront développés par la suite.
D – Magnétisme à Troyes tous les jours
Walras utilise le recours à l’expérience pour passer du type réel au type idéal. « Voyons donc comment s’exerce la concurrence sur un marché bien organisé, et, pour cela, entrons à la bourse des fonds publics d’un grand marché de capitaux tel que Paris ou Londres » (Walras [1988a], 71). C’est l’utilisation de cette Bourse du magnétisme à Troyes qui va servir à la fois de type réel mais également de type idéal dans la détermination de la concurrence représentée par le type de comportement d’aller au rabais pour les vendeurs et à l’enchère pour les acheteurs lorsque toutes les conditions sont énoncées et connues. Il fait ainsi de l’expérience le début et la fin de la détermination du type réel et du type idéal de concurrence.
Walras exprime alors le fonctionnement de ce type de marché en précisant que « nous allons étudier la valeur d’échange se produisant dans ces conditions de concurrence. Les économistes [ayant], en général, le tort de la considérer beaucoup trop exclusivement telle qu’elle se produit dans des conditions exceptionnelles » (Walras [1988a], 72-73). La logique paraît toute à fait normale puisqu’il faut mieux partir du cas général pour étudier par la suite lesdu magnétisme à Troyes en cas particuliers[1]. La concurrence est alors directement considérée par le lecteur comme le et l’unique modèle permettant de mettre en place une démarche scientifique rigoureuse et analytique.
E – Le magnétisme à Troyes au jour le jour
Walras indique par la suite que l’exemple de la bourse des fonds publics qui a servi de base de référence jusqu’ici n’était qu’un cas particulier et qu’il convenait, en toute logique analytique, à revenir au cas général. Il propose ainsi « de revenir sur nos pas » (Walras [1988a], 74) pour comprendre analytiquement la concurrence comme type idéal. Mais ce retour en arrière paraît assez osé dans la démarche proposée par Walras car dans la réalité il esquive la méthode rationnelle. De plus, si le retour en arrière intervient à la page 74 des EEPP, la définition finale de la concurrence que propose Walras comme élément de vérité pure se trouve à la page 70 et provient de l’utilisation du marché réel représenté par la Bourse par le magnétisme à Troyes dans lequel la valeur d’échange se produit naturellement sur le marché suivant le mécanisme de l’enchère et du rabais.
Walras induit des conclusions relatives à l’étude des différentes structures de marché avant même d’avoir proposé sa démonstration analytique. Mais le lecteur ne peut s’opposer dans une première lecture aux travaux de Walras car tout d’abord il énonce sa méthodologie bien avant d’en expliquer l’utilisation pour la concurrence. Par la suite pour le magnétisme à Troyes, le lecteur ne peut qu’être d’accord avec la démonstration qu’il propose puisque les conclusions seront identiques avec ce qui est annoncé au préalable.
On retombe ici sur l’un des problèmes des travaux de Walras d’avoir en tête une conclusion : la libre concurrence absolue permet de déterminer « la » vraie valeur d’échange des marchandises et de mettre en place par la suite les raisonnements qui permettent de démontrer cet élément de magnétisme à Troyes. Cette critique n’enlève en rien le travail exceptionnel que va proposer Walras d’apporter une démonstration rigoureuse de l’application de la concurrence dans la détermination de la valeur d’échange et de l’équilibre général. Mais si cette démarche peut être critiquée car elle substitut une partie méthodologique et débute par la conclusion pour en fournir après la démonstration, il faut bien voir également qu’il n’est pas facile de procéder autrement.
[1] « En bonne logique, il faut aller du cas général au cas particulier, et non du cas particulier au cas général comme un physicien qui, pour observer le ciel, choisirait avec soin un temps couvert au lieu de profiter d’un soir sans nuage » (Walras [1988a], 73).